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Songe d'un hiver ♪ Lutz

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MessageSujet: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyLun 22 Fév - 19:56



Lutz Iavosski (Askanov par son père)

informations
AGE 17 ans
ORIENTATION C'est bien quelque chose dont il ne s'est jamais vraiment préoccupé
NATIONALITÉ Russe
SOURCE DU POUVOIR Un pendentif en or blanc serti d'une émeraude
CLASSE ET ANNÉE 7e année chez les Sud
MATIÈRES OPTIONNELLE Arithmancie & Astrologie

psychologie

Les élèves de la classe Sud sont tous considérés comme chaleureux, souriants : des sortes de petits soleils sur pattes qui viennent illuminer la journée de leur entourage. Tous ? Oh, il faut bien l’exception qui confirme la règle, et c’est la position qu’occupe actuellement Lutz. Déjà qu'il arriva lors de la deuxième année, établir des relations sociales amicales n’était pas chose aisée pour lui, si bien que il reste en retrait par rapport à ses camarades.

De par son passé et sa mère qui le dénigrait sans cesse, l’adolescent a fini par perdre confiance en lui, et ce dès son enfance. Il ne croit pas en ses capacités malgré tout ce qu’on puisse lui dire, et il lui arrive souvent d’avoir les propos haineux de sa mère qui lui reviennent en tête. Même s’il ne les accepte pas, il ne peut s’empêcher d’y penser, de se demander s’il n’y a pas une part de vérité, même infime. Et comme il est toujours en retrait par rapport aux autres, personne n’est en mesure de le sortir du trou dans lequel il continue de s’enliser en lui rétorquant simplement le contraire. Il s’isole de lui-même, par peur des personnes qu’il pourrait être amené à rencontrer, car son esprit s’imagine que ce qu’il a connu plus jeune pourrait se répéter. C’est un cercle vicieux dont il n’arrive pas à se défaire, et dont il n’a peut-être pas conscience également. Si quelqu’un venait à l’approcher, il serait mal à l’aise, maladroit aussi, il ne cesserait de s’imaginer des scénarios improbables, et tenterait de fuir discrètement. On pourrait le prendre pour un grand timide, mais les raisons remontent à son vécu dans lequel il demeure enfermé. Il garde tout pour lui, ce qui est une conséquence directe de son passé. Comme il n’a jamais connu quelqu’un vers qui se tourner et se confier, cela se perpétue encore aujourd’hui. Néanmoins, en grandissant, il a fini par cesser de fuir les conversations même s’il préfère les éviter. Depuis lors, il se contente de rester calme, neutre, et de prononcer le minimum syndical. Taciturne serait le mot adéquat. Il ne cherchera pas à prolonger la discussion, si bien que son interlocuteur finit par le laisser de lui-même. Une petite stratégie qu’il a mise au point et qui a fait ses preuves.

Dans ses études, et même dans la vie quotidienne, Lutz fait preuve de sérieux et de maturité, et travailler ne le gêne pas, puisque cela a toujours constitué une échappatoire pour lui. Il apprécie d’apprendre de nouvelles choses, de lire des écrits variés, si bien qu’il n’est pas rare de le voir presque tout le temps le nez fourré dans un bouquin. Sur son bureau s’empile une multitude d’ouvrages, certains en rapport direct avec ses cours, et d’autres qui sont là uniquement pour satisfaire sa curiosité. Personne ne sait trop comment il fait pour engranger toutes ces connaissances et où il les stocke, mais il faut dire aussi que lire et apprendre sont ses deux activités principales. Il ne se préoccupe pas spécialement du reste, ce qui peut sans doute expliquer cela. Peut-être est-il aussi partisan de l’idée que « savoir, c’est pouvoir », ce qui justifierait cet intérêt incommensurable pour la découverte de nouveaux éléments. A lire tout ce qui lui tombe sous la main, il peut ainsi faire face à n’importe quel type de situation, même si la plupart de ces savoirs demeurent théoriques et qu’il n’est pas sûr de pouvoir être capable de les mettre en pratique.

Si l’on parvient à obtenir la confiance de l’adolescent, on découvre alors une nouvelle personne, ou plutôt, on découvre tout simplement qui il est vraiment. Au-delà de sa réserve importante, il se révèle d’une nature assez désordonnée malgré les apparences (le coin de sa chambre étant plutôt bien rangé) car il aura tendance à retrouver difficilement ses notes ou encore le livre qu’il cherche. Toutes les petites choses du quotidien lui passent au-dessus de la tête alors que les connaissances qu’il accumule restent dans sa tête. Visiblement, il n’y a pas de la place pour tout. Il serait même capable de poser deux fois la même question à seulement quelques minutes d’intervalle. Oui, il est un peu étourdi, parfois rêveur, à s’imaginer par exemple la vie au Moyen-Âge. Néanmoins, Lutz est quelqu’un de sincère auprès des personnes en qui il a confiance et d’assez sensible à ce qui l’entoure et à ce qui lui arrive. C’est également un pacifiste affirmé, détestant la violence qu’il a trop subie par le passé. Il préfère éviter les conflits, et a ainsi tendance à s’écraser face à ceux qui pourraient lui chercher des noises. Il ne prendra pas le risque que cela tourne à une bagarre, même s’il se sait pouvoir gagner. L’adolescent apparaît aussi comme quelqu’un de nerveux, toujours à s’inquiéter et à stresser pour trois fois rien dès qu’il n’a pas le nez dans un livre, et il se montre de ce fait parfois assez maladroit, ce qui le gêne. Il peut paraître complexé dans certaines situations car son visage est très expressif et il n’a jamais trouvé le moyen de rester de marbre.


histoire


Lutz naquit lors d’une soirée hivernale comme il en existait tant en Russie, dans cette ville de Saint-Pétersbourg. Quelques jours après sa naissance, sa mère et lui avaient regagné leur petit appartement situé au troisième étage, à dix minutes à pied du centre-ville historique. Il ne connut jamais son père, pas même quelques minutes. D’après sa mère, celui-ci était parti plusieurs mois auparavant, refusant d’avoir un enfant à charge. Comme ils ne s’étaient pas mariés, cela ne fut en aucun cas un problème et il abandonna sans à peine dire au revoir sa famille.

Vivant seul avec sa mère, le jeune Lutz grandissait vite et était curieux du monde qui l’entourait. Il était passionné par la neige et il passait des heures debout sur une chaise à regarder par la fenêtre. Chaque jour il se levait rapidement pour ouvrir les volets et voir si les rues étaient blanches. Il détestait lorsque les beaux jours arrivaient, car il devait dès lors oublier la neige le temps de quelques mois.

Cependant, son enfance n’était pas des plus agréables : très rapidement, il dut commencer à prendre ses responsabilités pour faire tourner le foyer car ce n’était pas sa mère qui le ferait. Celle-ci s’enfonçait jour après jour dans l’alcool et n’accordait que peu d’attention à son fils. A chaque fois qu’elle l’apercevait avec ses mèches de jais et ses yeux tirant vers l’ambre, il lui rappelait son ancien compagnon qui la dégoûtait plus que tout. Elle aurait voulu l’effacer de sa vie, mais son fils, leur fils, en étant un souvenir impérissable. Elle avait bien espéré qu’il ne lui ressemblerait pas, mais ses prières avaient été vaines.

Après l’école, il allait faire des courses pour remplir le garde-manger de l’appartement que sa mère laissait constamment vide, et il apprit bien vite à cuisiner quelques plats faciles pour éviter de devoir manger des repas congelés ou tous préparés qui coûtaient horriblement chers à chaque fois. Ces responsabilités lui pesaient, car elles l’empêchaient de pouvoir suivre ses amis de classe après les cours. Non, lui il devait s’occuper de sa mère et lui-même, parce qu’il avait bien compris qu’il ne valait mieux pas attendre cela d’elle.

Aller à l’école était pour lui une échappatoire, un moment où il abandonnait son quotidien. De plus, il aimait bien apprendre des choses nouvelles, même si celles-ci n’étaient pas toujours des plus intéressantes. Et le soir, s’il finissait ses courses en avance ou qu’il n’en avait pas, il se réfugiait à la bibliothèque municipale. Il y passait des heures, le nez plongé dans un livre. Ses lectures étaient variées, il s’efforçait de lire un peu de tout. Une fois pouvait-il être en train de lire une bande dessinée, la fois suivante lirait-il un livre d’histoire. Néanmoins, il s’arrangeait toujours pour rentrer avant le dîner afin que sa mère ne se doute de rien : c’était son secret à lui.

Il remarqua au fil des années que plus il grandissait, et plus ses relations avec sa mère, déjà peu amicales, se dégradaient. Cela était dû à sa ressemblance avec son père qui ne faisait que s’accentuait, mais Lutz ne le comprenait pas, puisqu’il n’en avait pas conscience. Elle n’hésitait pas à hausser davantage la voix, à lui crier dessus pour des raisons futiles ou à cause de sa maladresse qui naît en lui lorsqu’il est stressé. Alors il faisait tout pour éviter de se retrouver avec elle dans cet appartement. Il essayait de partir à l’école avant qu’elle ne soit réveillée, et de rentrer le soir après qu’elle soit partie. Depuis quelques temps, elle s’absentait de plus en plus souvent, ne dînant même plus avec lui. Si cela lui permettait d’esquiver ses cris, la solitude qui apparaissait pesait néanmoins lourd sur ses épaules, et il n’avait personne à qui se confier. Son seul réconfort demeurait dans ses lectures, et aussi dans la neige.

Plusieurs mois après ses neuf ans, un repas qu’il partageait avec sa mère, pour une fois présente, fut plutôt mouvementé. Quelque peu anxieux de la voir, il lâcha par inadvertance un bol sur le sol qui se brisa. Comme à chaque fois, elle ne manqua pas l’occasion de lui crier dessus tandis qu’il ramassait les morceaux de verre éparpillés. Tout aurait dû s’arrêter là, il en avait l’habitude après tout, mais quelque chose en avait décidé autrement. Il avait à peine relevé timidement la tête vers sa mère que la vaisselle disposée sur la table explosa subitement alors qu’il ressentait un feu intérieur s’agiter en lui. Il ne comprenait pas ce qu’il venait de se passer. Il ignorait comme cela était possible. Il était encore surpris par ce qui venait de se produire, mais sa mère, elle, avait compris. Ses yeux, d’ordinaire seulement agacés, se firent haineux à l’encontre de son fils. Elle se leva, l’approcha et commença à le frapper pour se défouler en le traitant de monstre. Elle était furieuse : elle n’avait pas mis à la porte ce monstre de compagnon, qui était aussi le père de son enfant, pour en avoir un deuxième ! Car oui, en réalité, le père de Lutz n’était pas parti de son plein gré, il y avait été forcé, sans même savoir que sa femme attendait un enfant. Son ancien amant était un monstre, et son fils l’était tout autant. Quoiqu’il en soit, ce jour marqua la longue descente aux enfers de l’enfant.

Son quotidien avait repris, difficilement, alternant entre les cours de l’école, les courses habituelles du soir, les heures où il se réfugiait à la bibliothèque, les coups parfois violents de sa mère, et ces moments qui lui paraissaient interminables où il devait expliquer à ses professeurs que ses bleus étaient simplement dus à sa maladresse parce qu’il était tombé dans les escaliers. Il ne voulait pas leur parler de ce qui lui arrivait ; ni à eux, ni à quiconque. Il avait trop peur pour le faire. Peur de quoi ? Il n’en savait trop rien. Peut-être que cela empire, qu’il soit encore frappé.

Quelques temps avant ses onze ans, ce feu intérieur qu’il avait ressenti ce jour-là réapparut brusquement alors qu’il était en cours sans qu’il ne sache pourquoi. Et aussitôt les fenêtres de la salle de classe volèrent en éclats sous les cris apeurés et de surprise des élèves. Lutz était paralysé, il s’imaginait être à nouveau battu car il se sentait en tort. Profitant de la cohue générale, il attrapa son sac et s’éclipsa en courant.

Il alla droit chez lui, sûr et certain qu’elle ne s’y trouverait pas. A l’heure qu’il était, elle devait sûrement commencer sa tournée des bars. Mais à peine ouvrit-il la porte de l’appartement qu’il tomba nez à nez face à elle. Son sang se figea dans ses veines, mais elle se contenta de lui adresser un regard noir. Un soulagement le parcourut mais il cessa dès lorsqu’elle lui saisit le bras. Quelques morceaux de verre s’y étaient logés, et il n’en fallut pas plus à sa mère pour comprendre ce qu’il s’était passé et pourquoi il rentrait sitôt de l’école. Alors elle reprit son « rituel » habituel lorsqu’elle voulait le punir, c’est-à-dire qu’elle se mit à le frapper, sans ménagement, peu importe si elle lui laissait des traces. Sa décision était prise, cela n’avait plus d’importance.

Une fois cela fait, le laissant dans un état pitoyable et qui aurait sûrement mérité des soins, elle le jeta dans la cave de l’appartement où elle l’y enferma pendant plusieurs mois. Elle le retira également de manière officielle de l’école où il allait pour éviter que quelqu’un se rende compte que quelque chose clochait, prétextant un déménagement.

Les jours passaient, se ressemblaient. Il vivait dans la peur, attendant presque fatidiquement que la porte s’ouvre et que sa mère lui apporte de quoi manger. S’il avait le malheur de la regarder à ce moment-là, elle recommençait à le battre pour soi-disant lui faire comprendre où était sa place en tant qu’abomination du ciel.

Un soir, il aperçut enfin une ouverture, même si celle-ci semblait irréaliste. Sa mère qui venait de lui apporter à manger s’effondra à terre, complètement ivre. Bien qu’hésitant, et voyant qu’elle ne bougeait pas, il finit par saisir sa chance et courut vers sa porte de sortie. Cela faisait longtemps qu’il n’avait plus marché, il avait mal, mais il s’efforçait de ne pas en tenir compte. Il voulait simplement fuir. Il quitta aussitôt cet appartement de malheur, ne pensant même pas à prendre quelques affaires, et courut aussi loin qu’il put. Sa course finit par s’achever dans une petite ruelle où il s’effondra et se cacha entre deux bennes à ordures. Il faisait nuit, le ciel était nuageux ; et surtout, il neigeait.

Lorsqu’il se réveilla, les bennes à ordures avaient disparu et tout était lumineux. Il avait chaud, il se sentait bien pour la première fois depuis longtemps. Il voulut se redresser, lui qui était allongé dans un lit, mais une voix lui intima de rester ainsi pour le moment. Elle lui raconta qu’elle l’avait trouvé la veille dans une ruelle, et qu’il l’avait sauvé d’une mort certaine par le froid en l’amenant ici, à l’hôpital. Il souffrait aussi de malnutrition légère et avait quelques côtes fêlées. Il remercia timidement son sauveur qui s’avéra être l’inspecteur de police Aleksey. Celui-ci lui demanda quelques renseignements, comme les coordonnées de sa famille afin qu’il puisse les prévenir, mais Lutz s’y opposa aussitôt. Il avait presque crié son « Non ! » tant il craignait de la revoir. Elle lui ferait sûrement payer cher sa fugue. Ses yeux étaient perdus dans le vague, si bien qu’il ne vit même pas la main qui vint lui frotter doucement l’épaule et qui le fit brusquement sursauter. C’était seulement l’inspecteur qui voulait le réconforter d’un mal dont il ignorait tout. Sa main était chaude, il se sentait en sécurité avec elle, même si elle l’effrayait également.

Chaque jour Aleksey vint le voir. Il ne cherchait pas à comprendre les raisons qui l’avaient poussé à se retrouver dans cette ruelle, il venait simplement quérir de ses nouvelles et discuter avec lui, de tout et de rien. Etrangement, il se sentait en sécurité avec lui, et la peur qui lui inspirait au départ finit par s’évaporer au fil des semaines. Puis, une nuit, alors qu’il se réveilla en sursaut à cause d’un cauchemar, il était là, à son chevet, il n’était pas encore parti. Il était là pour lui. Il le consola alors que l’enfant pleurait dans ses bras, et il finit par lui raconter, bien que difficilement, ce qui lui était arrivé. Il omit néanmoins la vaisselle et les vitres brisées mais l’inspecteur aborda lui-même le sujet, ce qui l’étonna. Il lui expliqua qu’il s’agissait de magie, de pouvoirs, et qu’il était simplement un sorcier ne les maîtrisant pas encore. Et s’il savait cela, c’était que lui-même était passé par là lorsqu’il avait son âge, à la différence près qu’il ne fut pas rejeté par sa famille, composée presque uniquement de sorciers.

Quelques jours plus tard vint un homme qui se présenta comme étant un messager. Il s’excusa tout d’abord de ne pas avoir pu délivrer cette lettre à temps, puis il la remit à Lutz. Il s’agissait d’une invitation qui le conviait à rejoindre le Pensionnat Lloyrod sur une île aux abords des Etats-Unis, un endroit où il pourrait apprendre à maîtriser ses pouvoirs. Cependant, il ne restait plus que quelques mois avant la fin de la première année, et il lui faudrait alors attendre la rentrée prochaine, mais il aurait alors eu un an de plus que les nouveaux arrivants. Cela aurait normalement été un problème, mais Aleksey avait une solution. Le lendemain, il partit avec Lutz pour ce pensionnat où, une fois arrivés, ils allèrent à la rencontre d’un professeur du pensionnat, un certain Ivan Askanov, qui s’avérait être le frère de l’inspecteur. Cet homme allait devenir le temps des derniers mois avant la rentrée prochaine son professeur particulier, lui permettant ainsi de rattraper son retard et de rejoindre les 2e années avec qui il aurait dû être.

Ayant ainsi rattrapé son retard au cours de mois intenses d’entraînements et d’apprentissages, Lutz reprit sa scolarité au Pensionnat comme s’il n’avait rien manqué. Il rejoignit la classe Sud, une classe qui correspondait plus ou moins à son niveau. Néanmoins, il avait du mal à s’intégrer, son passé pesant lourd sur ses épaules, et il préférait largement être aux côtés des deux Askanov avec qui il se savait en sécurité. Rencontrer de nouvelles personnes lui rappelait sa mère et il ne cessait de se demander si cela n’allait pas se répéter un jour. Il n’arrivait pas à s’ôter cette idée de la tête. Son aisance qu’il avait pu avoir auparavant dans les relations sociales s’était désormais envolée. Ainsi, il demeure en retrait par rapport au reste de sa classe.

Pour sa troisième année, il choisit l’arithmancie, et prit l’astrologie pour sa quatrième année. Puis, il rencontra un changement pour sa 7e année : son unique colocataire de chambre (le troisième lit n’avait jamais été occupé) dut quitter le pensionnat pour raisons familiales, et Lutz fut alors conduit dans une nouvelle chambre, ce qui constitue pour lui une nouvelle difficulté à franchir.


Pseudo
PRÉNOM Maëlle
AGE 17 ans
DOUBLE COMPTE /
COMMENT AS-TU TROUVER LE FORUM ? Un corbeau m'a délivré son adresse par missive ;p
SUGGESTION ? Piou ♪

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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyLun 22 Fév - 19:59

Coucouuu o/

Rebienvenu a twoi :3 Je suis pressée de pouvoir rp avec toi o/ En espérant que tu te plaira ici et que tu t'amusera ^^
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyLun 22 Fév - 20:01

Ay ay arigato ^.^
Je finis cette prèz dès que je peux, au plus tard ce weekend c'est bouclé je pense
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyLun 22 Fév - 20:03

Ne t'inquiète pas :3 Prend ton temps o/
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyLun 22 Fév - 23:54

J'aurai que ça à faire ce weekend, c'est pour ça xD
Autrement j'étais inspirée et j'ai écris d'une traite toute l'histoire (qui était sous forme de notes sur une feuille, donc c'était pas bien dur xD) ♪
J'ai fait en sorte qu'il rejoigne la chambre de Clive que cette année, comme ça ils se connaissent pas vraiment encore vu que Lutz a toujours été en retrait. Après rien n'empêchera Clive de l'avoir déjà repéré avant cela ^^

Et le caractère ça attendra par contre.

Et je me demandais aussi, c'est normal qu'il n'y ait pas de partie description physique ?
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyMar 23 Fév - 5:33

Haaanw, j'avais envie de le câliner ;.; Et oui c'est normal qu'il n'y a pas de physique ^^
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyMar 23 Fév - 6:57

Oh c'est gentil :3 mais bon courage pour le faire, il va plus avoir peur qu'autre chose x)

Et oki ^^

Edit > Fini =D
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz EmptyMer 24 Fév - 5:24

Alors, je vais voir ça Very Happy Mmh...

Songe d'un hiver ♪ Lutz Ok_check_yes_tick_accept_success-128 Bravo ! Tu es Validée ! Maintenant, ceci étant fait, va donc aller poster dans le bottin, tu peux aller demander une chambre ici. Poster ta fiche relation et récapitulatif de Rp juste et enfin, aller demander un Rp.

Amuse toi bien parmi nous !
Clive E. Holmes
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MessageSujet: Re: Songe d'un hiver ♪ Lutz Songe d'un hiver ♪ Lutz Empty

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Songe d'un hiver ♪ Lutz
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